À propos du projet MapToDesK et de la carte comme outil décisionnel
MapToDesK est un bureau d’études et d’ingénierie conseil dont le but est d’accompagner les territoires et les entreprises dans l’intégration de la « cartographie intelligente » au service de leur décisionnel.
MapToDesK : lire « Map-to-desk », « la carte rendue sur le bureau (informatique) »
– Parce qu’ « un bon dessin vaut mieux qu’un long discours » (Napoléon Bonaparte)
– Parce que « nous vivons dans un monde interconnecté » (Jeremy Rifkin)
Bernard Benoit de Coignac, fondateur de MapToDesK, a souhaité doter les responsables d’aménagement du territoire et en entreprise d’outils d’aide à la décision pour élaborer leurs projets avec acuité et piloter en toute sérénité.
Ancien cadre technique, son objectif a par là-même été de documenter les équipes opérationnelles dans la conduite des installations avec réactivité et en toute sécurité.
MapToDesK – Plans et cartographie SIG – en Aveyron, Occitanie, Grand Sud
Cartographe, carto-analyste producteur/opérateur de données géographiques, je mets en œuvre des solutions SIG pour la valorisation de données en géolocalisation.
Expérimenté en CAO/DAO je produis également des plans, modèles, et cartographies métiers en entreprise et pour le territoire.
Bernard Benoit de Coignac
Capital d’expérience en milieu industriel.
Ayant évolué des années aux Méthodes, Services Généraux, Travaux neufs… administrateur de cartothèques, je peux appréhender en quelques phrases les problématiques du responsable d’exploitation, et lui proposer des architectures normatives de plans parfaitement adaptées à ses besoins.
En production (relevés in-situ) j’évolue avec aisance en co-activité en parfaite connaissances des risques en industrie.
Pratique des territoires.
Traitement de plans de géomètres et du BTP, contribution au déploiement de la Fibre Optique (missions d’étude), ou appuis à paysagistes ou BE-environnement… m’ont conféré des connaissances-métiers complémentaires pour faire le trait d’union (*) entre les problématiques de l’entreprise et celles du territoire qui l’accueille.
Expériences supplémentaires : adjoint en mairie ; des responsabilités d’État et d’intérêt collectif ; des engagements associatifs.
La carte, interrogeable et interactive, comme outil d’aide à la décision.
Envisagez la carte comme un « portail » simple et intuitif vers la donnée triée et organisée.
Pour l’industrie par exemple, la « carte » correspond aux plans techniques et thématiques
Inscrits dans un contexte géographique et économique, leur territoire : - Périmètre, abords et VRD des sites de production - Bâtiments comme « fonds de plan » - Réseaux dédiés à l’exploitation de site ; ceux au service du process - Parcs machines : chaînes de production ou installations centralisées ...
Un plan, simplement papier ou vecteur et filaire en 2D, contribue déjà efficacement à l’exploitation d’un site
(lire « Quelques interrogations » plus bas).
Mieux ! il épargne des sinistres lorsqu’on ne sait pas « Où sont les vannes d’isolement du réseau qui fuit »…
Chaque item dessiné( 1) affecté de données attributaires ou connectées( 2) ouvre la voie aux solutions de gestion technique (cf. GTC/GTB). Pour un SIG on parle d’ intégration de données et on raisonne par couches (thématiques).
Il est admis que 80% des problématiques sont transposables dans un SIG.
Le croisement des données et les outils d’analyse spatiale offrent des cartes à forte valeur ajoutée, de façon automatisée ; données préalablement triées, organisées, connectées.
Aussi le technicien ou l’opérateur se concentre sur son métier, sans perdre de temps dans la recherche d’information.
Dotée de tableaux de bord la direction peut efficacement suivre la performance de ses installations, de ses productions, veiller à sa communication…
Et les Services ainsi décloisonnés peuvent collaborer : 1 + 1 = 3
( 1 ). dans le respect de chartes graphiques (calques et normes) et correctement géolocalisé selon les bons référentiels (systèmes de projection etc.)
( 2 ). Les données sont généralement issues du système d’information interne ; et nous produisons la donnée autant que de besoin. Chaque donnée est univoque, garantie par celui qui la produit.
Quelques interrogations d’un exploitant :
– « Où passent mes réseaux d’eau ou fluides de coupe ? Quelles machines en consomment et combien ?
– « Quel est le flux de production selon gamme de fabrication ? Quel est alors l’actif en service ? (inventaires)
– « L’aménagement de mes surfaces est-il optimisé ? surfaces libres ?
– « Gestion des accès : quelle clé ouvre quoi ; qui détient « la clé » ? . . .